Récemment, vous avez tenu vos comptes. Et c’est là que vous avez failli avoir un infarctus…
Entre juillet 2021 et juillet 2022, la France a connu une inflation de 6,8 % (source : vie-publique.fr). Pour les ménages français, ce sont 90 € qui doivent être ajoutés lors des courses (source : lefigaro.fr). Et ce n’est pas uniquement dans les supermarchés que la crise économique vous pousse dans vos derniers retranchements.
Loyers, factures courantes, éducation, … Tout devient de plus en plus cher. Pire encore : certains prédisent même un futur krach boursier.
Pour éviter que l’inflation n’ait raison de votre bien-être financier, diversifiez votre portefeuille d’actions. C’est le moment de faire fructifier votre épargne durement constituée. Attention cependant… Pour que la rentabilité soit au rendez-vous, il est crucial de bien choisir ses secteurs d’investissement.
1. Miser sur l’or
C’est la valeur refuge par excellence en cas d’inflation, de krach boursier ou de crise économique. Façonné dans les tréfonds de la Terre, le précieux métal jaune évolue à contre-courant du secteur bancaire. Quand les marchés boursiers s’effondrent, le cours de l’or s’envole. Quand l’inflation est forte, les intérêts pratiqués par la Banque de France sont moindres et, par ricochet, le prix d’achat de l’or augmente.
Placement financier qui résiste aux crises, l’or papier est un métal précieux sur lequel miser en temps de crises.
En juillet 2020, une once d’or s’échangeait à plus de 2 000 $. Et puis, à partir de novembre 2020, le cours de l’or a commencé à baisser graduellement. En début 2022, son prix d’achat oscillait autour de 1 900 $ l’once. Mais ça, c’est si vous achetez auprès d’un comptoir. En contact direct avec les mines aurifères, Augiet-tradition.com propose l’once d’or à 1 200 €.
Depuis le début d’année, les quantités d’or achetées ont grimpé de 34 %. C’est dire à quel point les investisseurs sont toujours friands du métal jaune. Pour maximiser votre plus-value lors de la revente, faites confiance à Augiet-tradition.com.
Installé au 118 Champs-Élysées, ce cabinet financier à de nombreux atouts. Bien que non exhaustive, la liste de ses avantages inclus :
- un suivi personnalisé ;
- une absence complète de frais ;
- pas de démarches administratives ;
- la possibilité d’acheter et de revendre en quelques clics ;
- les fonds sont disponibles à tout instant ;
- La gestion est entièrement automatisée.
En ces temps de crise, les garanties supplémentaires sont plus que bienvenues. Envie d’assurer votre avenir en investissant dans l’or ? Vous savez désormais vers qui vous tourner.
2. Investir dans la pierre
Encore une autre valeur refuge que l’on ne présente plus…
L’immobilier est un secteur qui ne connaît pas la crise. Même en période d’inflation, particuliers comme professionnels ont besoin de logement. Résultat des courses : les investisseurs malins généreront des revenus passifs via la perception de loyers.
L’avantage des solutions locatives, c’est qu’elles comprennent des conventionnements de loyers sur l’inflation. Pour les dispositifs Pinel et les loueurs meublés non-professionnels (LMNP), le texte à utiliser est l’Indice de référence des loyers (IRL). En termes simples, ce dernier indique qu’en cas d’inflation, les bailleurs peuvent revoir leurs tarifs à la hausse.
En plus de ces mécanismes étatiques, l’immobilier révèle parfois de belles surprises en temps de crises. Acculé, les particuliers peuvent brader leurs résidences ou leurs terrains. Ouvrez l’œil… De belles opportunités d’achat risquent de se dessiner à l’horizon.
Il est important de préciser que dans le cas de reprises/rachats, les rendements sont sur le long terme. Ce n’est qu’après la crise économique qu’une valorisation du bien permettra de générer des bénéfices intéressants.
Pour les investisseurs qui ne désirent pas se rendre sur le terrain, le plus simple reste d’investir dans une Société civile de placement immobilier (SCPI). Ainsi, vous acquérez des actions dans des entreprises immobilières et percevrez des rentes ou des plus-values intéressantes.
3. Le vin et les objets d’art
Attention… Ce placement est à réserver aux personnes disposant de solides connaissances en œnologie et en art. Par ailleurs, il faut noter que les gains ne sont pas immédiats. Comptez 10 à 15 ans pour les revendre à prix d’or.
Toutefois, ces quelques désagréments ne vous découragent pas. Récemment, Le Figaro a indiqué que le prix des grands crus avait explosé de 48,8 % en six mois. L’art, que ce soit au-travers de toiles ou de vins, est un placement qui résiste bien aux crises et aux inflations.